Lorsque que mes souvenirs me viennent, j’échoue parfois au rivage du large de tes yeux..J’y vois la mer à nos pieds en offrande d’écume qui s’allonge sur le sable rose , puis lentement elle glisse et s’enroule aux courbes sensuelles du rivage dans un voile lumineux où , le soir j’erre . Attendant que tout cela descendent par-dessus la nuit qui s’écoule. Dans le silence du sans aveux.

forcer ce qui se déroule.

de voyage en exil : je m’offre un temps .

alors que je m’efforce à le passer seul .je me retrouve comme happé par la foule nocturne..Toujours la lueur de bout du monde , la grande éclaircie du soleil couchant.C’est alors que je discerne chez moi un goût inhabituel pour l’ombre. Alors qu’obstinément j’essais de m’en détourner. Je suis là , tout à ce qui se pense...

.... souvenirs de toi que je préserve.