Je ne savais pas votre prénom,

j'avais de vous juste cette splendeur…Profonde jusqu’à votre sourire. Alors comment taire , comment dissimuler cette sensation. il m'a fallu jeter les mots aux hasards et m'en étonner , les envoyer à l’abri du monde pour dire ce qu’il me restait …

de votre voix, de vos lèvres claires , et puis vos yeux mystère, sublime d’allures et d’élégances.

Irréductible transgression . Ma sensibilité emportant ce tout de vous je finis par écrire, tout donner aux mots , tout me prendre .

il me vient alors ce moment que j'aime entre tous, la coïncidence , la douceur , l'etoffe des premières phrases écrites .il me faut surtout ne pas choisir, finir par admettre qu’il n’y a pas nécessairement d’explications à donner, qu'Il y a quelque chose dans cet acte qui m' est dérobé , qui m' échappe au rythme d’une réalité parfois merveilleuse et magique.

Soudain un silence en suspend , dans la tiédeur du moment je lève les yeux, manifeste un mouvement de réflexion, comme pour me souvenir de cet acte délicieux que m'accorde les mots …

Creusé à la périphérie d’une abstraction.

puis ils me renvoient vers ce lieu de passage où ils s’inventent, où ils resident.