Les pas ,les rues, dans ma ligne d’horizon le regard de la nuit complexe et répandue. Je m’étais dis qu’il fallait que j’arrête d’aimer la nuit,de caresser son silence encore et encore,de la parcourir de long en large comme une plage hors saison. Il y avait comme un courant de candeur quand son désir s’offrait à moi. Il y avait aussi la lumière bleutée de l’aube sur la courbure du littoral ,celle qui chaque jour s’installe en cérémonie silencieuse,